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LES DECOUVERTES DU PASSE

15 octobre 2008

LES MONNAIES ROMAINES

MONNAIES ROMAINES

Monnaie Romaine

Les Romains paraissent avoir connu l'usage de la monnaie assez tard, sans doute au IV siècle av. J.-C. Jusque-là, les échanges commerciaux étaient régis par le troc.
Les plus anciennes monnaies de l'Italie centrale sont d'énormes lingots quadrilatères, sorte de briques de cuivre, sur lesquelles sont représentés un bœuf, un porc et d'autres animaux. Ces lingots sont taillés sur le modèle de la livre romaine de 327 g. Il en est qui pèsent jusqu'à 4 ou 5 livres, d'où leurs noms de quadrussis et de quincussis; les pièces d'une livre portant le nom d'as.

Puis ils sont remplacés par des plaques de bronze sur lesquelles sont gravées des figures (animaux, armes...): c'est l'aes signatum.  La première monnaie véritable, circulaire, fut l'"as libral", en bronze et pesant théoriquement une livre (libra) romaine, en fait beaucoup moins (273 g).
Cet as est divisé en fractions duodécimales (semis, triens, quadrans, sextans, uncia).
La frappe de la monnaie d'argent fut introduite à Rome seulement en l'an 269 av. J.-C.:

  • denier = 2 as 1/2;
  • sesterce = 10 as.
Après une refonte générale des monnaies, on a, au II ième siècle av. J.-C. :
  • denier = 16 as;
  • sesterce = 4 as.

Sous César, le sesterce est en bronze et la monnaie d'or fait son apparition :

  • sesterce (bronze) = 4 as,
  • denier (argent) = 4 sesterces;
  • aureus (or) = 25 deniers.

Sous l'Empire, l'as, qui n'avait plus été frappé dans le courant du I er siècle av. J.-C., réapparaît; d'autre part, le sesterce est désormais en laiton.
On a donc les monnaies suivantes :

  • as (bronze);
  • sesterce (laiton) = 4 as;
  • denier (argent) = 4 sesterces = 16 as;
  • aureus (or) = 25 deniers.

Des origines de la monnaie romaine jusqu'à l'Empire, le poids de métal n'a cessé de baisser. L'as de bronze a successivement pesé 273g puis 109g puis 27g puis 9g, et enfin 2,3g sous le Bas-Empire ; le denier a contenu de moins en moins d'argent; le poids d'or de l'aureus est passé de 8,10g à 7,30 g sous le Haut-Empire et 6,5 g sous le Bas-Empire.

Les monnaies étaient frappées dans le temple de Juno Moneta (Junon " Conseillère "), dont l'épithète Moneta finira par désigner la " monnaie ".  Une commission de trois membres (les tresviri monetales, du corps vigintisévirat) était chargée du contrôle de la frappe. Sous l'Empire, il ne lui resta que la fabrication des monnaies en métaux non précieux, les empereurs se réservant le contrôle des pièces d'or et d'argent. - Sous la République, les pièces furent d'abord frappées à l'effigie de divinités, puis on prit l'habitude de varier les effigies. A partir d'Auguste, les pièces sont à l'effigie de l'empereur; sur le revers apparaissent les thèmes les plus variés.
Sous l'Empire, il faut posséder 400 000 sesterces pour pouvoir faire partie de l'ordre équestre, un million pour appartenir à l'ordre sénatorial. Les plus hauts fonctionnaires de l'ordre équestre (préfets du prétoire, de l'annone, chefs des services de la chancellerie) perçoivent un traitement annuel de 300 000 sesterces. Les fortunes les plus considérables se comptent par dizaines de millions de sesterces. On estime que mille de sesterces sous Trajan représente environ 45 Euros.

Pendant toute la durée de l'Empire romain, les monnaies ordinaires sont : l'aureus et le quinaire d'or ou demi-aureus; le denier d'argent et le quinaire d'argent ; enfin, en bronze, les pièces que, d'après leur module, les numismates classent en grands bronzes, moyens bronzes et petits bronzes. Exceptionnellement, il y a des multiples ou grosses pièces d'or, d'argent et de bronze, qu'on appelle "médaillons".
Constantin le Grand réforma complètement le système monétaire de l'Empire et créa en or :

  • le solidus ou sou d'or (d'où notre mot sol, sou),
  • le semissis ou demi-solidus d'or
  • le tremissis ou triens, c'est-à-dire le tiers de sou d'or.

En argent, il créa

  • le miliarense ou millarès,
  • la silique,
  • la demi-silique.

Ces espèces persistèrent sous l'Empire byzantin. Les Barbares continuèrent à frapper les espèces d'or et d'argent créées par Constantin. C'est ainsi que, chez les Francs Mérovingiens, on a le sou d'or, le tiers de sou d'or et la demi-silique ou denier d'argent.

TYPES DE MONNAIES ROMAINES

L'as : piéce de bronze. Ses 1éres éditions datent de 289 avant JC.

Le denier : piéce d'argent qui à l'origine valait 4 sesterces ou 10 as. Ses 1éres éditions datent de 212 avant JC.

L'aureus : piéce d'or qui valait 25 deniers. Elle représentait la paie mensuelle d'un légionnaire. Ses 1éres éditions datent de 15 avant JC.

Aureus (au pluriel aurei) : monnaie romaine en or. Plus particuliérement, emploie pour désigner les monnaies romaines en or produites ponctuellement à partir de la deuxiéme Guerre punique, et plus couramment à partir de l'époque de Caésar. Terme utilisé parfois pour les monnaies d'or byzantines. Cependant l'aureus est remplacé part le solidus au IVéme siécle de notre ére.

Un aureus vallait 25 deniers d'argent, soit 100 sesterces. Son émission devient réguliére à partir de Jules Caésar (Ier siécle av. J.-C.) L'aureus a approximativement la même taille que le denier, mais il est plus lourd que ce dernier, car la densité de l'or est plus élevée que celle de l'argent.

Le sesterce : piéce d'argent puis de cuivre jaune sous l'Empire qui valait 2,5 as. Cette piéce était aussi nommée le nummi.

Le sesterce est une des monnaies romaines les plus connues. Elle a été popularisée par Astérix et Obélix, qui n'ont que ce mot à la bouche quand ils parlent d'argent. Il s'agit pourtant bien d'une monnaie romaine. En voici l'histoire et la définition par E. Babelon (article Sestertius dans le Dictionnaire des Antiquités Grecques et Romaines de Saglio), suivi par quelques images de sesterces de la période impériale.

Sesterce (SESTERTIUS). Monnaie qui fut l'unité de compte des Romains, depuis les origines jusqu'à  Constantin, et fut aussi monnaie réelle, d'abord en argent, puis en bronze. Lorsque les Romains, à l'époque primitive, n'avaient encore que la monnaie de bronze, ils estimaient le sesterce d'argent de 0 gr. 87 des villes de la Grande-Gréce et de la Sicile à deux as et demi de leur propre monnaie [NUMMUS]. Voilà  pourquoi lorsqu'en 269 av. J.-C., ils se décidérent à frapper l'argent dans l'atelier du Capitole, ils émirent, outre le denier et le quinaire, une petite piéce d'argent qui fut à peu prés l'équivalent du sesterce de l'Italie méridionale; celle piéce qui valait deux as et demi ou le quart du denier, fut le sesterce ("nummus semistertius", par abréviation sestertius). Comme monnaie de compte, on a expliqué à l'article DENARIUS les diverses formes que prenait le sesterce dans les énoncés des sommes et les registres financiers, sous la République et sous l'Empire . Comme monnaie réelle, le sesterce, qui pése théoriquement un scrupule (1 gr. 137), fut frappé en argent, bien qu'assez rarement, depuis l'an 269 av. J.-C. jusqu'à 217, date de l'affaiblissement officiel de la monnaie d'argent et de bronze; il porte la marque HS ( = 2 as 1/2). Le sesterce fit une courte réapparition, en 89 av. J.-C., grâce à la loi Plautia Papiria qui créa l'as oncial ; puis il disparut une seconde fois (5). Enfin, de 49 à 43 av. J.-C., Caésar et Pompéïe décrétérent de nouveau l'émission du sesterce d'argent (6). Aprés l'an 43 qui précéde notre ére, le sesterce d'argent fut remplacé par un sesterce de bronze valant 4 as et pesant une once (27 gr. 29), [AUREUS, p.564](7). Sous Auguste, on frappa le sesterce en laiton ou cuivre jaune (aurichalcumz), et cette grande piéce persista au moins jusqu'au temps de Florien (276 ap. J.-C.). Mais son poids diminua progressivement presque à chaque émission; aprés avoir pesé originairement une once, le sesterce de cuivre est de 5/6 d'once à l'époque de Alexandre; d'une demi-once sous Trajan  puis d'un tiers d'once sous Trébonien Galle. De plus, le métal s'était aussi altéré graduellement, et le laiton, dés le temps des Antonins, était remplacé par du bronze ordinaire

L'antonianus : piéce d'argent créée par l'Empereur CARACALLA en remplacement du denier. Elle valait environ 2 deniers.

Le follis : piéce d'argent créée par l'Empereur AURELIEN. Elle deviendra la piéce la plus courante.

Le quadrans : piéce de bronze qui est la plus petite dénomination du systéme monétaire romain ; en équivalence cela donne :

1 aureus = 25 deniers = 100 sesterces = 250 as = 1000 quadrans.

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15 octobre 2008

LES METAUX

LE BRONZE

Le bronze est un alliage de cuivre (essentiellement ) et d'étain - la proportion d'étain peut aller de 6 à 35 %. Le cuivre, métal rouge-rose d'aspect brillant, est utilisé pour ses qualités esthétiques, mais aussi mécaniques : ductilité, malléabilité, dureté et résistance à la corrosion. L'addition d'autres éléments métalliques au cuivre permet d'accroître sa fusibilité ainsi que sa résistance à la corrosion : le silicium, l'aluminium et l'étain sont les éléments le plus souvent employés dans les alliages de bronze. Sa densité varie de 7,3 à 8,8, sa résistance à la traction, de 25 à 80 kg /mm 2. La résistance et la dureté du bronze s'accroissent en fonction de l'augmentation du pourcentage d'étain ou d'aluminium

Les bronzes se caractérisent par leur facilité de moulage, leur bon poli, leur bonne conduction de la chaleur et de l'électricité, leurs propriétés antimagnétiques et antidéflagrantes et leurs applications dans les domaines de l'anticorrosion et de l'antifriction. Les bronzes binaires, les plus courants, sont utilisés pour la fabrication des monnaies (3 % de Sn ), la robinetterie, l'accastillage et la construction navale (10 % de Sn ), la fonte des cloches, de cymbales ou de miroirs (de 20 à 35 % de Sn ).

L'ETAIN

L'étain est un élément appartenant, comme le plomb et le germanium, au groupe IV-b du tableau de classification périodique. Son numéro et sa masse atomiques sont respectivement Z = 50 et M = 118,69. Son symbole est Sn, de l'étymologie latine stannum : plomb argentifère. L'étain naturel est formé des isotopes de masses atomiques 112 à 124. Il arrive qu'on trouve l'étain à l'état natif (Australie, Sibérie ), mais on exploite surtout un minerai de formule SnO 2, la cassitérite ; en Bolivie on rencontre un minerai plus complexe, la stannite, de formule Cu 2 FeSnS 4.

Élément relativement rare, l'étain représente 0,004 % de la croûte terrestre. La production mondiale est de l'ordre de 220 000 tonnes de minerai par an. En 1998, les principaux pays producteurs étaient, pour le minerai, la Chine, l'Indonésie, la Russie, la Malaisie, le Pérou, le Brésil, la Bolivie et le Mexique. En France, l'étain est encore extrait à Saint-Renan dans le Finistère (moins de 400 t par an ).

Propriétés physiques et métallurgie

On connaît trois variétés allotropiques de l'étain. La variété stable dans les conditions habituelles de température est l'étain blanc ou étain b. C'est un métal blanc, de densité 7,28, peu dur et très malléable. On peut entendre, lorsqu'on le plie, un bruit particulier, dit cri de l'étain, dû aux contraintes subies par les cristaux qui forment le métal. Au-dessus de 161 °C, l'étain b se transforme en étain g, ou étain fragile, dont la densité est 6,5, qui fond à 232 °C et bout vers 2 270 °C. À basse température (en dessous de 12 à 13 °C ), l'étain b se transforme lentement en étain a ou étain gris, de densité 5,75 ; à - 50 °C, cette transformation est rapide et l'étain devient alors pulvérulent ; on a donné à ce phénomène le nom de peste de l'étain.

Divers traitements préliminaires sont nécessaires (grillage, séparation magnétique, flottation, etc.) pour purifier le minerai des impuretés qu'il peut contenir (soufre, arsenic, antimoine et bismuth ).

Le grillage de la cassitérite permet d'éliminer le soufre et de récupérer l'arsenic. L'«étain noir » obtenu (environ 80 % de SnO 2 ) est réduit par le carbone dans des fours à réverbère ou à arc électrique, vers 1 200 °C. Les métaux restant comme impuretés sont séparés par oxydation.

Propriétés chimiques

L'étain est un métal peu réducteur. Il résiste bien à l'action des agents atmosphériques, ce qui explique son emploi pour l'étamage de divers métaux (fer, cuivre, etc.). À température élevée, il s'oxyde en présence d'oxygène pour donner le dioxyde SnO 2, et finit par brûler avec une flamme blanche. Les bases, même concentrées et chaudes, ne l'attaquent pas. Il en est de même pour les acides chlorhydrique et nitrique dilués. Mais, concentrés, ces derniers attaquent vivement l'étain, qui passe alors sous une forme complexe.

Dans ses composés, l'étain peut prendre la valence II (composés stanneux ) ou la valence IV (composés stanniques ). Avec les halogènes, on obtient des composés de type SnX 2 ou SnX 4 ; avec l'oxygène, on obtient le bioxyde de SnO 2 et l'oxyde stanneux SnO, qui est amphotère ; enfin, avec le soufre, on obtient des sulfates et des sulfures. Les organo-étains constituent une catégorie importante de composés d'étain ; on en connaît plus de 500, parmi lesquels les alkyl-étains et les carboxylates d'étain.

L'art de l'étain

Connu comme métal pur dès le début de notre ère, l'étain est utilisé depuis fort longtemps pour la fabrication d'objets d'usage courant et d'ustensiles de cuisine.

Dès l'Antiquité, l'étain, qui peut s'allier au cuivre comme au plomb, entra dans la composition du bronze. Les Phéniciens d'abord, les Carthaginois, puis les Phocéens s'en procuraient en abordant les îles Scilly au large du comté de Cornouailles.

Les cités méditerranéennes qui possédaient les mines de cuivre d'Italie et de Chypre dépendaient, pour leur approvisionnement en étain nécessaire à la fabrication du bronze, des Phéniciens, puis des Carthaginois. En effet, ceux -ci veillaient jalousement sur leur monopole, gardant le secret sur leurs routes maritimes et sur les entrepôts où ils achetaient le métal : la péninsule ibérique, l'Armorique, la presqu'île de Cornouailles, désignées de façon générale par le nom d'îles Cassitérides (étain se dit kassitéros en grec ). Ils répandaient de faux récits de voyage, et envoyaient par le fond les navires concurrents qu'ils rencontraient. La fondation de Marseille mit fin à ce monopole, le commerce pouvant désormais se faire par une voie presque uniquement terrestre avec l'Armorique et la presqu'île de Cornouailles.

Au Moyen Âge, la vaisselle d'étain, imitant les formes de l'argenterie, était d'un usage courant sur la table des bourgeois. Les couverts s'ornèrent, à partir du XVIe siècle, de motifs décoratifs en dentelle. Le relief accusé d'un plat ou d'une assiette s'obtenait par le coulage de l'étain en fusion dans des moules, soit en bronze, soit en pierre.

L'art mineur de l'étain eut ses maîtres : François Briot (vers 1550 ), Charles Boulle (1842 -1732 ), qui l'utilisa en marqueterie. Au XVIIe siècle, cet art atteignit son apogée. Les styles rococo et baroque du XVIIIe siècle permirent encore de belles réalisations, mais à partir du XIXe la céramique supplanta peu à peu l'étain.

L'OR

OR : Métal précieux jaune brillant inaltérable à l'eau, à l'air, fondant à 1064° Celsius. Densité élevée : 19,3. Il peut être battu en feuille de 1/1000 ème de m/m d'épaisseur . On utilise ses alliages avec le cuivre et l'argent qui lui donnent de la dureté pour la frappe des monnaies, la bijouterie, la dentisterie. Par exemple dent en or blanc, gris, jaune, rose, rouge, vert d'une teneur en or de 18 carats. Selon la loi Française (l'or à 24 carats est pur à 100 % ).

1 Carat = Quantité d'or fin contenu dans un alliage exprimé en 24 eme de la masse totale. L'or est le plus malléable et ductile de tous les métaux. L'or existe à l'état natif dans les filons de quartz aurifères et dans les sables d'alluvions. La rentabilité d'un gisement d'or natif est de 8 à 10 grammes par tonne et de 0,2 à 1 gramme par mètre cube d'alluvions. Les principaux pays producteurs sont l'union Sud Africaine, la Russie, l'Australie, le Canada.


LE ZINC

Métal moyennement réactif, le zinc se combine avec l'oxygéne et d'autres non-métaux, et réagira avec les acides dilués en dégageant de l'hydrogéne. L'état d'oxydation le plus courant du zinc est l'ion zincique. Quand il est exposé à  l'air, le zinc forme une trés fine couche d'oxyde imperméable, qu'on appelle parfois la « rouille blanche ».

Les Anciens utilisaient couramment la calamine (qui est en fait un minerai carbonaté de zinc) mais ne paraissent pas avoir utilisé le zinc comme métal isolé, bien qu'un certain nombre de bracelets de zinc aient été découverts en Grâce, notamment dans les mines de Camaros...Ces découvertes permettront de situer leur fabrication vers le cinquiéme siécle avant Jésus- Christ. La toute premiére industrialisation de la production de zinc sera réalisée par William Champion. Le même William Champion déposera le brevet d'un procédé de réduction de la calamine en 1738. La galvanisation des aciers est la principale utilisation faite du zinc. En effet, le dépôt d'une mince couche de zinc à la surface de l'acier protégera celui- ci de la corrosion. Le processus de galvanisation consomme quelques quarante sept pourcent du zinc exploité dans le monde. Et pour cause, l'acier galvanisé est utilisé tant dans la construction, l'électroménager, les équipements industriels,que l'automobile...Le laiton, qui est un alliage de cuivre et de zinc, et le bronze ( qui est lui un alliage de cuivre et d'étain auquel on ajoute parfois du zinc ) consomment eux dix neuf pourcent du zinc produit... Les alliages de zinc, comme le zamac pour les piéces moulées (notamment dans le domaine de l'automobile, des équipements ménagers, des piéces industrielles...) représentent eux quatorze pourcent de sa consommation, les produits chimiques neuf pourcent et les autres applications, dont les plaques et péces pour toiture, onze pourcent. Le zinc trouve aussi des applications en agriculture, comme par exemple comme apport d'oligo-élément essentiellement dans les zones de sols trop calcaires. (La culture la plus sensible au manque de zinc dans les sols est certainement le maïs.

Masse volumique: p = 7,1 kg/dm3

Point de fusion :419 °C

LE CUIVRE

LE CUIVRE

Le cuivre est un métal de couleur rougeâtre, dont le symbole est « Cu » et de numéro atomique est « 29 ». C'est l'un des rares métaux qui existe à l'état natif, c'est-à-dire pur de toute combinaison. Avec l'or, c'est le seul métal naturellement coloré. Aprés l'argent, c'est le meilleur conducteur de l'électricité et de la chaleur. Il est certainement l'un des premiers à avoir été utilisé par l'homme car des piéces datant de 8 700 ans avant Jésus-Christ , ont été trouvées.

Pendant « l'Age du Cuivre, période qu'il est difficile de situer avec précision, le cuivre était utilisé à l'état natif, simplement martelé pour lui donner une forme. Des outils et des armes de chasse en cuivre sont apparus dés I'époque néolithique, vers 5000 ans avant J-C. Des mines de minerai de cuivre ont été découvertes, il y a 4 700 ans, dans le Sinaï par les égyptiens. Le plus ancien artisanat du cuivre connu en Bulgarie date de 4500 à 4000 ans avant J-C. Chypre, qui tire du métal, son ancien nom « Aes Cyprium », pratiquait l'exploitation du minerai de cuivre vers 2300 à 2000 avant J-C. L'une des sept merveilles du monde, le Colosse de Rhodes, a été exécutée en martelant des feuilles de cuivre sur des moules de bois. Le cuivre est rarement utilisé pur, sauf pour les conducteurs électriques. Les alliages de cuivre, par contre, sont trés largement utilisés dans de nombreux domaines. On situe vers 1800 avant J-C, la naissance de la métallurgie du bronze, mélange d'étain et du cuivre. Les laitons sont des alliages à base de cuivre et de zinc. Il s'agit de l'alliage de cuivre le plus fabriqué qui présente la plus grande facilité d'emploi.

Les cupro-aluminiums contiennent du cuivre de l'aluminium avec addition ou non de fer, nickel ou manganése. Leurs utilisations les plus fréquentes concernent des piéces ou ensembles destinés à  évoluer en milieu marin du fait de leur excellente résistance à  la corrosion par l'eau de mer et leurs propriétés anti-fouling. Les maillechorts sont des alliages de cuivre, de nickel et de zinc. Il existe deux types d'exploitation du cuivre, définis selon la forme des gisements et leur profondeur : Les mines à ciel ouvert et les mines souterraines

Masse volumique: p = 8,9 kg/dm3

Point de fusion :1083 °C

Résistivité : p = 0,0175 ohm.mm2/m


L'ALUMINIUM

L'ALUMINIUM

Vient du latin alumen qui signifie "alun".
Le mot alumium a été proposé au début du XIXe siécle par Humphry Davy. Il ne fut employé qu'en Amérique du Nord. Comme beaucoup d'éléments chimiques découverts au cours de ces 200 derniéres années, il se termine par -um. Citons par exemple le radium révélé par Pierre et Marie Curie en 1898.

L'aluminum est un métal commun léger et de couleur blanche argentée

Les Grecs et les Romains connaissaient déjà  l'alun mais l'aluminium pur apparut quelques siécles aprés.
L'aluminium ne se trouve pas seul dans la nature, il est toujours combiné avec d'autres éléments - le plus souvent avec du sodium (Na) ou du fluor (F) - pour donner des oxydes, des hydroxydes ou encore des silicates. Associé à de l'eau ou à des oligo-éléments (vitamines et métaux utilisés par des organismes vivants), il forme le minerai d'aluminium le plus répandu : la bauxite, découvert en 1821 par le minéralogiste français Pierre Berthier prés du village des Baux-de-Provence (Bouches du Rhône) d'où son nom.

On considére donc que l'homme qui est à l'origine de l'aluminium moderne, utilisé en industrie, est celui qui a réussi à isoler la bauxite (sous forme de poudre) : le physicien chimiste danois Hans Christian Oersted, c'était en 1825. Deux ans plus tard, le chimiste allemand Friedrich Wéhler l'obtient sous forme de lingot. Ce n'est qu'en 1854 que Henri Saint-Claire Deville trouva une méthode d'isolation plus pratique : avec le métal obtenu, on décida d'en faire une ménagére pour Napoléon III ! C'est dire le caractére précieux qu'avait l'aluminium à cette époque du fait des difficultées d'isolation et d'extraction de bauxite !

Utilisé le plus souvent sous forme d'alliages (cf les bronzes aluminium). Son emploi a toujours servi et sert encore pour les petites faciales. Les ateliers monétaires prenaient l'aluminium pour les périodes de crises quand le nickel et le cuivre venaient à manquer (armement, guerre, occupation...). Les Morlon sont passées du bronze-aluminium à l'aluminium en 1941 en laissant la place aux francisques de 1942 à 1944.

Point de fusion : 660°C | Masse volumique : 2,7g/cm3 | densité : 2,7 (le tiers de celle de l'acier !)

Lorsque l'aluminium est exposé à l'air (donc en présence d'O2), il se forme sur son extérieur une couche d'oxyde d'aluminium : l'alumine (Al2O3) qui le protége de la corrosion (en empéchant le dioxygéne de pénétrer), d'où son lustre mat. La bauxite que nous avons vu un peu plus haut contient environ 50% d'alumine.

L'aluminium est un excellent conducteur électrique, et de chaleur. Cette propriété est exploitée en cuisine pour l'emballage des plats surgelés et pour faire cuire le poisson Il est également un trés bon réflecteur de lumiére.

Métal ductile, malléable.

En faisant des alliages avec l'aluminium, on appronfondit ses caractéristiques : il peut avoir un point de fusion plus élevé et une meilleure dureté.

Alliages

L'aluminium s'utilise peu à  l'état pur, sauf en miroiterie ( V. aluminiage ), du fait de sa faible résistance mécanique (au maximum 20 kg /mm² ), mais ses alliages sont nombreux. On combine à l'aluminium de façon usuelle les métaux suivants : cuivre, silicium, magnésium, manganése, titane, chrome, zinc, cobalt, cadmium. On distingue, en simplifiant :

1.  Les alliages malléables ou forgeables, qui se subdivisent eux -mêmes en : a Al + Mg (de 2 à 7,5 %) avec adjonction éventuelle de manganése et chrome (de 0 à 0,8 %) pour accroître la résistance mécanique et la résistance à la corrosion (par exemple le Duralumin ); b Al + Mg (de 0 à 1,4 %) + Si (de 0 à 1,2 %), autotrempants et moins résistants, mais non soumis à la corrosion ; c Al + Cu (de 0 à 5 %) + Mg (de 0 à 1,8 %) + Zn (de 0 à 6,5 %), d'une résistance mécanique comparable à celle de l'acier (jusqu'à 45 kg /mm 2 ), mais dont certains, oxydables, nécessitent une couche de protection.

2.  Les alliages de fonderie de type Al + Si (de 10 à 22 %), qu'on peut facilement couler et souder en raison de leur bas point de fusion (600 °C ), et qu'une adjonction de cuivre, cobalt et manganése rend plus usinables.

3.  Les alliages antifriction du type Al + Si (de 20 à 26 %) + Cu (de 0 à 1,7 %) + Ni (2 %) ; ils ont un bas coefficient de frottement et se dilatent peu.

4.  Les alliages magnétiques, où la proportion de fer peut atteindre 70 % ( V. alnico ) et qui se caractérisent par leur forte coercitivité.

Résistivité: p = 0,06 ohm.mm2/m

15 octobre 2008

GOLDMAXX POWER DE CHEZ XPLORER

15 octobre 2008

MES ANCIENS DETECTEURS

15 octobre 2008

LES DIX COMMANDEMENTS DU CHERCHEUR

A CONNAITRE ET A RESPECTER

1- Interdiction totale de toucher aux sites archéologiques ainsi qu'aux monuments historiques, et de prospecter aux alentours de ceux-ci.

2- Ne pas pénétrer dans les propriétés privées et toujours demander l'autorisation locale à la Mairie et au propriétaire du terrain, de préférence écrite.

3- Respectez l'environnement dans lequel vous vous trouvez en ne retournant pas le sol.

4- Déclarez systématiquement à la Mairie tout objet ayant un intérêt archéologique ou historique.

5- Ramassez les objets métalliques qui traînent, parfois dangeureux, en tout cas polluants.

6- En contact des mines, munitions,etc..., alertez immédiatement la gendarmerie.

7- Soyez informés du Code Rural.

8- Soyez informés des textes existants régissant la détection (les numéros du magazine "Détection Passion" sur ce sujet peuvent être commandés par notre intermédiaire).

9- Entretenez des relations courtoises avec les personnes qui démontrent de l'intérêt ou de la curiosité pour votre détecteur, prospecteur ou non.

10- Vous êtes dès lors responsables, non seulement de vos actes mais également de l'image de l'ensemble des prospecteurs.

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15 octobre 2008

LES PATINES ET OXYDES

LES PATINES

La Patine

La patine est une cristallisation de métal qui se forme à

sa surface lorsque toutes les conditions nécessaires

sont réunies. Cette patine qui recouvre certains objets

ou certaines monnaies ne doit en aucun cas être

détériorée. Les collectionneurs attachent une très

grande importance à cette oxydation de noblesse qui

certifie entre autre l'authenticité de l'objet ou de la

monnaie.

Page 2 sur 3 Le Nettoyage des Découvertes

Les Conditions Nécessaires

Les conditions indispensables à la formation de la patine sont :

Le Temps :

Le temps est essentiel pour la formation progressive de la patine qui évoluera au fils du temps et des

saisons. Plusieurs siècles seront nécessaires pour un développement normal de la patine.

La Nature du Sol :

La nature du sol joue un rôle déterminant dans la création et l'évolution de la patine. Selon l'acidité du sol

qui sera plus ou moins importante elle sera de bonne ou de moins bonne qualité.

La Nature des Métaux :

Les métaux ont des propriétés qui leurs sont propres, leurs compositions métalliques favoriseront ou

défavoriseront son développement.

LES OXYDES

LA ROUILLE : Produit poreux plus ou moins friable non homogène, fait d'un mélange d'oxyde de fer hydraté. Formule chimique Fe2 O3 H2O ( Fer + Oxygène + eau ) = CORROSION. De couleur rouge foncé composée d'oxyde de fer Fe3 O4 qui se forme sur les métaux ferreux exposés à l'humidité et en présence de l'air à température ambiante.

ROUILLE BLANCHE : Dépôt blanc inégal qui se forme sur le zinc et les alliages de zinc-aluminium exposés en atmosphère humide et subissant des variations de température, il s'agit de Carbonate de Zinc ( CO2 + zinc )

VERT de GRIS : Hydrocarbonate de Cuivre qui se forme dans l'air humide sur les objets de ce métal sous l'action du gaz carbonique ( CO2 ). Le gaz carbonique contenu dans l'air provoque la corrosion : la rouille blanche et le vert de gris.

15 octobre 2008

FONCTIONNEMENT D'UN DETECTEUR DE METAUX

Principe

Un détecteur de métaux fonctionne en exploitant un phénoméne physique bien connu : l'induction électromagnétique. Seuls les objets métalliques peuvent induire un courant.

Un détecteur de métaux est composé de deux bobines :

  • la bobine émettrice est traversée par un courant électrique alternatif sinusoidal d'une certaine fréquence.
  • la bobine réceptrice récupére le courant induit. Il se produit un décalage de phase qui est analysé par un processeur.

Discrimination

Plus l'objet métallique est gros, plus il sera conducteur et plus le décalage de fréquence sera grand. De même certains métaux sont meilleur conducteurs (l'argent notamment) et le décalage de fréquence sera d'autant plus grand. C'est en étudiant ce décalage de fréquence que l'on peut tenter de discriminer l'objet détecté.

Mais dans la pratique, c'est un peu différent. En effet un détecteur de métaux cherche du métal et aussi ses différents alliages. La conductivité électrique d'un alliage est différente d'un alliage à  un autre et sa valeur peut être proche entre deux alliages de nature trés différente.

Ainsi de l'or 18 carats, peut tout à fait être confondu avec du papier d'aluminium et si l'on élimine le papier d'aluminium à  l'aide du bouton discrimination, on élimine aussi l'or !!! De l'or bas titre (14 carats) pourra même être visualisé sur le vu-métre du détecteur comme du ... fer (ou pas loin).

En définitive, la discrimination n'est valable que pour les petits ferreux (petits morceaux de fil de fer barbelé ou petits clous) mais pas pour les grosses masses ferreuses (genre fer à  cheval dont la forme en boucle se détecte facilement). Toutefois il existe des détecteurs de métaux capables de vous indiquer que ce que vous avez sous la tête est une grosse masse ferreuse et sans se tromper. Le fer donne en effet un signal particulier facilement reconnaissable sur un oscilloscope. Du fait de la variété des alliages, la discrimination ne peut être considérée comme totalement fiable. Si tous les métaux étaient purs, discriminer ne serait pas un probléme.

Principes physiques

La détection d'un métal dans l'air par un appareil électronique se fait toujours selon le même principe physique : l'induction magnétique. Un conducteur électrique transportant du courant produit un champ magnétique dans l'espace qui l'entoure mais l'inverse est également vrai. Un champ magnétique variable produit un courant dans un conducteur. A travers une bobine, la loi de Faraday explicite la force électromotrice produite par la variation du champ magnétique. La présence d'un objet métallique dans le champ magnétique induit par une bobine modifie la tension aux bornes de cette derniére ce que l'on repére en électronique par la modification de l'inductance de la bobine.

Les types de détecteurs de métaux

Les premiers détecteurs fonctionnaient selon le principe du battement de fréquence mais ils étaient peu performants. La technique des trés basses fréquences donna une meilleure sensibilité, mais dans les années 1960, l'induction par impulsion fut mise au point et elle est actuellement encore la plus utilisée.

Détecteur à battement de fréquence : Les détecteurs à battement de fréquence furent les premiers à   apparaître car ils sont simples à mettre en oeuvre mais se sont également les moins sensibles. Le principe est le battement de fréquence. Il utilise, en fait, deux oscillateurs, l'un fixe, l'autre sensible aux modifications du champ magnétique. La modification du champ magnétique d'une bobine influe, comme nous l'avons vu, sur son inductance et donc, si l'on construit un oscillateurs autour de cette derniére, celui-ci aura une fréquence qui réagit avec le champ magnétique et donc la présence de métal.

Pour l'utiliser, il suffit de comparer le signal issu de cet oscillateur avec un signal de référence, ce dernier représente le signal de premier oscillateur qui ne serait pas modifié par la présence de métal. Le signal comparé peut servir à allumer une diode ou être relié a un amplificateur pour entendre via un haut parleur la différence des fréquences si celle-ci est comprise entre 20Hz et 20kHz.

Détecteur à trés basse fréquence : Les fréquences utilisées sont inférieures à 30kHz. Ce détecteur est composé de deux bobines, une émettrice et une réceptrice.

La bobine émettrice traversée par un courant sinusoidal génére autour d'elle un champ magnétique ; lorsqu'un objet métallique passe dans ce champ magnétique, des courants de Foucault apparaissent en son sein. Ces courants générent à leur tour un champ magnétique qui tend à compenser le champ magnétique créé par la bobine émettrice. La bobine réceptrice va réagir au champ magnétique émis par l'bjet métallique, un courant induit va la traverser. Ce courant traité par l'électronique permet de savoir s'il y a ou non un objet métallique. Ce détecteur permet de discriminer les métaux et les ferromagnétiques. Le signal perçu par la bobine réceptrice est déphasé par rapport au signal émis. Le déphasage dépend des métaux et permet ainsi de les discriminer.

Détecteur à  induction pulsée : Ce type de détecteur ne nécessite qu'une seule bobine. Ces détecteurs sont trés performants dans la recherche en grande profondeur. Ils peuvent détecter jusqu un métre cinquante sous le sol.

Une puissante impulsion de courant est envoyée dans la bobine. Chaque impulsion génére un champ magnétique trés bref. Quand l'impulsion prend fin, la polarité du champ s'inverse et s'écroule soudainement ce qui provoque un pic de courant, l'impulsion de retour

Celui-ci dure quelques microsecondes et cause un autre courant à travers la bobine. Le processus se répéte. Si le détecteur est au dessus d'un objet métallique, l'impulsion crée un champ magnétique opposé dans l'objet. Quand l'impulsion s'arrête, le champ magnétique de l'objet augmente la durée de l'impulsion de retour. Un circuit test permet de contrôler la durée de l'impulsion de retour. En la comparant avec la longueur de départ, le circuit détermine si un autre champ magnétique a rallongé le temps de décroissance de l'impulsion de retour.

Effets de sol (GROUND)

1) Effets de sol manuels

En détection, il existe sur les détecteurs milieu et haut de gamme un potentiométre appelé "effets de sol" ou ground. Celui-ci permet à l'utilisateur de régler manuellement le détecteur, en fonction de la minéralisation rencontrée sur différents sols composés d'une terre chargée en oxydes de minéraux, de façon à ce qu'il soit toujours calibré à un niveau de stabilité neutre. De cette maniére, l'appareil n'est pas géné par les faux signaux intempestifs que provoquent ces oxydes. Il est bon de savoir que ce genre de terre est chargé de particules métalliques naturelles ; on dira donc que la charge est positive, contrairement à la plage qui elle est chargée en salinité. Le sel n'étant pas un métal, la charge sera donc négative. Donc l'utilité d'un tel réglage sur la plage en bord de mer n'aura aucun effet sur les faux signaux générés par le champs magnétique provoqué par la haute teneur en sel. Il ne servira donc à rien de posséder un tel réglage si ce n'est simplement à corriger les particules et oxydes métalliques contenus dans le sable.

Maintenant certains détecteurs possédent en plus de ce réglage un interrupteur ou autre bouton appelé beach ou mode plage qui permet à l'appareil d'étendre la plage de réglage dans la charge négative de façon à pouvoir s'affranchir au mieux du champ magnétique créé par la salinité.

En conclusion, ces réglages manuels permettront d'obtenir la meilleure puissance de pénétration dans le sol. Par contre, il est parfois possible de trouver sur un même terrain différentes couches karstiques, donc obligatoirement un sol plus ou moins minéralisé. De ce fait, l'utilisateur devra en permanence recaler ses effets de sol en fonction de la nature du sol prospecté.

2) Effets de sol préréglages

Sur certains détecteurs, le réglage d'effets de sol est calibré par le fabriquant. Ce réglage est étalonné de façon assez haut pour que l'appareil soit stable sur les différents sols faiblement minéralisés : sans aucun doute un bon compromis mais au détriment de quelques centimétres de puissance de pénétration.

3) Effets de sol automatiques

Ce réglage est sans doute le mieux qu'un détecteur puisse posséder, dans la mesure où c'est l'appareil qui effectue automatiquement le réglage grâce à un microprocesseur qui analyse et calibre en permanence au mieux les effets de sol en fonction de la nature du terrain présent. Bien sûr, si un tel systéme représente un réel avantage et confort d'utilisation pour le prospecteur, il se fait malgré tout au détriment du temps de réponse de la cible détectée, temps qui, en millisecondes, se révéle trés important en détection.

FONCTIONNEMENT D'UN DETECTEUR DE METAUX

15 octobre 2008

TETES DE DETECTION

PRINCIPE ET FONCTIONNEMENT

TETES DE DETECTION Principe et Fonctionnement Nous connaissons tous ou presque le principe de fonctionnement d un détecteur de métaux et les différentes parties qui le composent en général un boîtier électronique et une tête de détection Appeler plus couramment disque il existe une multitude de têtes de détection de plusieurs tailles, et de différente forme mais aussi de conception électronique variée. Par le biais de ce petit article je vais essayer d’expliquer assez simplement leurs caractéristiques et leur différences de travail Conception électronique il existe deux types de têtes de détection celles dites concentrique et celles de conception électronique double D appeler wide scan si leur principe de fonctionnement et pratiquement identique il en ai tout autre chose pour la diffusion et la propagation du signal quelles émettent Principe de fonctionnement Alors le principe est assez simple lorsque que vous mettez sous tension votre détecteur celui si envoie un courant alternatif a la bobine d émission ce courant va créer champ électromagnétique appeler plus techniquement (courant de Foucault) rayonnement va être capter par la bobine de réception et un équilibre va se faire entre les 2 bobinages , ainsi des qu un objet métallique se trouve dans le champ de rayonnement il coupe l’équilibre entre les deux bobines et votre détecteur vous indiquera alors par un bip ou autre que la boucle a était rompu Les têtes concentrique Utilisé sur la majorité des détecteurs ces têtes sont de fonctionnement assez simple leurs conception est faite avec 2 bobinages circulaire un servant pour l émission et l’autre pour la réception. Appellation concentrique réside dans le fait du montage en parallèle de ces 2 bobines Une ce trouvera donc au centre (réception)et l autre vers l extérieur (émission) Le rayonnement du champ magnétique sur ce type de tête sera de type conique car l intensité du signal créer par les bobinage va en se réduisant donc la surface de détection sera plus importante a proximité de la tête et de plus en plus petite au fur et a mesure qu on s en éloigne (voir schema) Les têtes double D ou Wide Scan De fonctionnement identique au tête concentrique seul la conception et la disposition des bobines est différente ,sur ce type de tête les bobinage sont de en forme de D et disposer de cette façon (voir schéma )ce qui offre un champ électromagnétique de style bâton et non pas conique comme sur les concentrique d ou l avantage d une meilleure pénétration dans le sol ce qui augmente la surface de prospection et offre moins de perte dans le sol et surtout un temps de réponse plus rapide ce qui permet de faire des balayage plus rapide en revanche elle sont plus sensible au ferreux Les têtes leurs forme et leurs diamètre Les rondes et leurs taille Les tete ronde quelles soient concentrique ou double d sont de par leurs forme celle qui sont souvent le plus utiliser et monter sur les détecteurs de métaux pour une recherche dites de détection classique ,les têtes ronde et de diamètre de 20 a 22 cm sont sans aucun doute le meilleur compromis trouver par les fabriquant pour allié puissance, sélectivité et maniabilité Leurs tailles Alors on aura tous compris que plus une tête a un diamètre important quelque soit ça forme plus la surface de détection et de pénétration est augmenté en revanche la sélectivité elle est diminuer ( l utilisation de certaine fréquence et les nouvelle technologie permette cependant maintenant de corriger cette perte mais ça c est un autre sujet ) Les elliptiques En forme de calisson d Aix (losange) les têtes elliptiques quelles soient concentrique ou double d sont celle qui offre le plus de sélectivité c est d ailleurs pour cela qu on les retrouve le plus souvent monter d origine sur les détecteur spécifique comme ceux pour la recherche d or natif de part leurs forme elle permettent la détection de toute petite cible comme les pépites d’or , l utilisation d une telle tête sur un détecteur classique permets de trouver plus facilement les petites cibles pauvre en métaux ferreux ( petit billon ,hemiobole, ect...) Conclusion Un détecteur de métaux possédant une tête double D donnera de meilleur résultat que le même détecteur équiper d une tête concentrique beaucoup de vendeur et autre vous diront que cela n est pas vrai ou alors que si les concentrique même si elles sont moins puissance en pénétration sont quand même plus sélective effectivement c était vrai mais il y a une dizaines d années maintenant la technologie et les fréquences utiliser permette au détecteur équiper de tête wide scan dites double D d’être aussi sélective que les concentrique et pour preuve ont trouve actuellement sur le marché des têtes double D de très grand diamètre qui donne en sélectivité de très bon résultat on remarquera aussi que beaucoup de fabriquant opte pour ce style de tête même si certain modèle ne sont pas fournit avec d origine les fabricants les propose quand même en option Ceci dit pour ma part un détecteur équipé d une tête double d un diamètre de 20 ou 22 cm de forme ronde ou elliptique donnera plus de satisfaction a son utilisateur même si cela demande un temps d adaptation un peu plus long et si le poids et légèrement un peu plus lourd qu une tête concentrique c est quand même le choix le plus judicieux a faire

15 octobre 2008

DIEUX ET PERSONNAGES DELA MYTHOLOGIE

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DIEUX DE LA MYTHOLOGIE

Les principaux dieux (leur nom latin est donné entre parenthèses)

Noms

Identités et symboles

Attributs

Principaux lieux de culte

Aphrodite (Vénus) Née de la mer.
Mère d'Eros.
Amour et beauté.
Colombes, coquilles. Cythère, Corinthe, Rhodes.
Apollon (Apollon) Jumeau d'Artémis.
Beauté physique.
Beaux Arts.
Lyre, flèches, laurier, soleil. Délos, Delphes, Corinthe, Bassae, Lindos.
Arès (Mars) Amant d'Aphrodite.
Guerre.
Casques, armes et armure.
Artémis (Diane) Chasteté, chasse. Arc, carquois., croissant de lune. Délos, Brauron, Corcyre, Delphes, Artemision.
Asklepios (Esculape) Fils d'Apollon.
Médecine.
Serpent, bâton. Epidaure, Kos.
Athéna (Minerve) Sagesse. Arts et métiers. Victoire guerrière. Bouclier (égide), casque, chouette, olivier. Athènes (Parthénon)
Déméter (Cérès) Agriculture, amour maternel. Epis de blé, sceptre, faucille. Eleusis.
Dionysos (Bacchus) Né de la cuisse de Zeus. Vin, joie. Vigne, thyrse, panthère. Athènes, Délos, monts du Parnasse et Pangée.
Hadès (Pluton) Royaume des morts. Trône, barbe. Nekromanteion d'Ephira.
Hélios (Phœbus) Un Titan. Soleil. Rayons, char. Rhodes.
Héphaïstos (Vulcain) Epoux d'Aphrodite. Feu, métal. Enclume, marteau. Athènes ("Theseion"), Limnos.
Héra (Junon) Epouse de Zeus. Mariage. Paon, diadème. Heraions d'Argos, Samos, Perahora, Olympie.
Hermès (Mercure) Messager des dieux et des âmes. Commerce, éloquence. Sandales et chapeau ailés. Caducée, bélier.
Hestia (Vesta) Foyer familial. Feu.
Léto (Latone) Maîtresse de Zeus ; mis au monde Apollon et Artémis à Délos. Représentée avec ses enfants.
Perséphone, Koré (Proserpine) Fille de Déméter. Mort. Renouveau. Coq, plantes. Nekromanteion d'Ephira.
Poséidon (Neptune) Epox d'Amphitrite. Mer et tempêtes. Trident. Athènes, Cap Sounion, Isthmia.
Zeus (Jupiter) Maître des dieux et de l'univers. Aigle, sceptre, foudre. Olympie, Dodone, Némée.

PERSONNAGES DE LA MYTHOLOGIE

personnages de la mythologie

Achille. – Fils de Thétis et de Pélée, élève du Centaure Chiron. Bouillant et brave. Invulnérable sauf au talon que Pâris perça d’une flèche mortelle lors du siège de Troie.
Adonis. – Aphrodite l’aima et resta inconsolable après qu’il eut été tué par un sanglier.
Ajax. – Fils du roi de Salamine. Il défendit Achille durant la guerre de Troie.
Amazones. – Peuple de femmes guerrières, supposées habiter les régions barbares du Nord-Est. Héraklès alla chercher la ceinture de leur reine Hippolyté, et Persée enleva Antiope.
Antigone. – Malheureuse fille d’Œdipe.
Argonautes. – Nom donné à Jason et à ses 50 compagnons partis conquérir la Toison d’or.

Ariane.
- Fille du roi de Crète Minos. Elle aida Thésée à vaincre le Minotaure
Atlas. - L'un des Géants. Il fut condamné par Zeus à soutenir la voûte céleste.
Atrides. - Descendants d'Atrée qui fut maudit par son père Pélops. Cette famille connut une succession de vengeances et de meurtres. Ses principaux membres sont : Ménélas et son épouse Hélène, Agamemnon et Clytemnestre, Oreste et sa sœur Electre.
Cadmos. - Fils du roi phénicien Agénor. Fondateur de Thèbes.
Cassandre. - Fille de Priam, roi de Troie. Connue pour ses prédictions funestes que personne ne voulait croire. Elle fut enlevée par Agamemnon.
Centaures. - Ayant un buste humain et un corps de cheval, ils assaillirent les Lapithes.
Cerbère. - Chien monstrueux, gardien des Enfers. Héraklès fut chargé de le capturer.
Charon. - Passeur qui transportait les morts sur le fleuve Achéron.
Chimère. - Animal fabuleux, d'origine orientale, tenant de la chèvre et du lion et parfois du serpent. Elle fut tuée par Bellérophon avec l'aide du cheval Pégase.
Cyclopes. - Géants à un seul œil, fils d'Ouranos et de Gé. Personnifiant le Tonnerre, l'Éclair et la Foudre, ils aidèrent les dieux à vaincre les Titans. Dans l'Odyssée, ils étaient des bergers anthropophages, et ailleurs, de grands bâtisseurs de murs... " cyclopéens ".
Danaïdes (Tonneau des).
Dédale. - Architecte et inventeur athénien. Exilé à la suite d'un meurtre, il se réfugia en Crète où il construisit le palais de Minos en forme de labyrinthe. C'est le père d'Icare.
Dioscures (Castor et Pollux). - Fils jumeaux de Zeus et de Léda. Guerriers aventureux.
Égée. - Roi d'Athènes. II envoya en Crète son fils Thésée tuer le Minotaure. Thésée, à son retour, avait oublié de changer la voile noire qui devait signaler son échec ; Égée, croyant son fils mort, se précipita dans la mer qui depuis lors porte son nom.
Égide. - Bouclier merveilleux fabriqué pour Zeus par Héphaïstos et offert à Athéna.
Éole. - Dieu des Vents qu'il tenait enfermés dans une outre et libérait sur l'ordre de Zeus.
Érinyes (Furies). - Déesses primitives et violentes, appelées aussi Euménides. Elles étaient chargées de venger les crimes. L'une d'entre elles s'appelait Mégère.
Europe. - Princesse phénicienne, fille d'Agénor. Elle fut enlevée par Zeus.
Géants. - Nés de Gé et du sang d'Ouranos. Ils attaquèrent les dieux de l'Olympe.
Gorgones. - Trois monstres à la chevelure de serpents. Leurs yeux énormes pétrifiaient quiconque osait les regarder. Seule la Gorgone Méduse était mortelle et fut tuée par Persée.
Harpyes. - Génies à corps d'oiseau et tête de femme. Ravisseurs d'enfants et d'âmes.
Hellen. - Petit-fils de Prométhée. Ses parents repeuplèrent le monde après le déluge. Ses descendants donnèrent leur nom aux peuples hellènes : Achéens, Doriens, Ioniens, Éoliens.
Héraklès (Hercule). - Fils de Zeus et d'Alcmène. Auteur des Douze Travaux légendaires.
Hespérides. - Nymphes chargées de garder le jardin de l'Extrême Occident où poussaient les arbres portant les pommes d'or, offertes par Gé à Héra le jour de ses noces avec Zeus.
Hypnos. - Fils de la Nuit. II personnifie le Sommeil. Il a pour frère jumeau Thanatos, la Mort.
Icare. - Fils de Dédale. Il s'envola du labyrinthe à l'aide de plumes d'oiseaux.
Iphigénie. - Elle fut sacrifiée par son père Agamemnon pour obtenir des vents favorables.
Minotaure. - Taureau à corps d'homme, enfermé dans le Labyrinthe. Il fut tué par Thésée.
Mnémosyne. - Fille d'Ouranos et de Gé ; mère des Muses. Elle personnifie la Mémoire.
Moires (Parques). - Trois sueurs personnifiant le Destin (" moïra "). L'une filait, l'autre enroulait le fil, la troisième le coupait. Leur nom est à l'origine du mot " mirlogue ", chant funèbre.
Muses. - Filles de Zeus et de Mnémosyne.
Némésis. - Fille de la Nuit. Chargée de la vengeance divine, elle devait surtout faire respecter l'ordre des choses et combattre la démesure. Elle avait un sanctuaire à Rhamnonte.
Néréides. - 50 divinités marines, filles de Nérée et de Doris, petites filles d'Océanos. L'une d'elles, Amphitrite, épousa Poséidon ; Thétis était la mère d'Achille.
Nymphes. - Divinités féminines de la Nature. Elles habitaient fontaines, buissons, rochers...
Œdipe. - Fils du roi de Thèbes. Sans les reconnaître, il tua son père et épousa sa mère.
Orphée. - Fils de la muse Calliope, musicien et poète époux d'Eurydice.
Pan. - Dieu rural et libidineux à tête humaine cornue et corps de bouc ; il inspirait aux nymphes une terreur... panique. Attribut : la "flûte de Pan " à 7 becs.
Pandore. - Première femme créée par les dieux. Elle ouvrit par curiosité la jarre scellée que lui avait confiée Zeus. Tous les maux - ou tous les bienfaits - du monde s'en échappèrent. Seule resta au fond l'Espérance.
Pâris. - Fils de Priam. Héra, Athéna et Aphrodite le prirent pour juge de leur beauté ; il désigna Aphrodite qui reçut la pomme d'or (de la Discorde). La déesse lui promit qu'il serait aimé de la plus belle des femmes, Hélène. Pâris était le frère d'Hector, époux d'Andromaque.
Pégase. - Cheval ailé, né du sang de la Méduse tuée par Persée. II devint le fidèle compagnon de Bellérophon qu'il aida à tuer la Chimère.
Pénélope. - Elle reste le symbole de la fidélité conjugale.
Persée. - Fils de Zeus et de Danaé. Favorisé par ses sandales ailées et son casque magique, il décapita la Méduse, l'une des Gorgones et délivra du dragon la princesse Andromède qu'il épousa.
Phèdre. - Épouse de Thésée. Elle aima son beau-fils Hippolyte et se donna la mort.
Prométhée. - Fils d'un Titan. Protecteur de l'humanité. II déroba le feu aux dieux pour l'apporter aux hommes. Zeus l'enchaîna alors au sommet du Caucase où il fut délivré par Héraklès.
Satyres (ou Silènes). - Démons de la Nature. S'adonnent avec Dionysos à la boisson et la lubricité.
Sirènes. - Oiseaux à tête humaine. Leur musique appelait les vivants à la mort.
Sisyphe. - Roi de Corinthe. C'était le plus rusé des mortels. Zeus, excédé et jaloux, le condamna à hisser sur une pente des Enfers un rocher qui retombait sans cesse.
Sphinx. - Monstre ailé d'origine orientale à tête de femme et corps de lion. Il dévorait les passants incapables de répondre à ses énigmes.
Tantale. - Père de Pélops. Pour expier une faute mystérieuse, il fut condamné à voir défiler sous ses yeux mets et boissons sans pouvoir y toucher...
Thanatos. - Génie ailé personnifiant la Mort. Frère d'Hypnos, le Sommeil. Fils de la Nuit.
Triton. - Dieu marin, fils de Poséidon. II aida les Argonautes dans leur expédition.
Ulysse. - Roi d'Ithaque qui participa à la guerre de Troie.

15 octobre 2008

ATELIERS MONETAIRES DE L'EMPIRE ROMAIN

ATELIERS MONETAIRES DE L'EMPIRE ROMAIN

-1 :Les lettres de bases. -P- pour "Pecunia" (argent en latin) -SM- (Sacred Moneta ) ou -M- (Moneta) - OB - pour Obryza (coupelle avec laquelle on vérifie le titre de l'or) ne concernent que les monnaies d'or.

-2 :Les lettres de localisation de l atelier. (Voir tableau ci dessous)

-3 :Les lettres d officines. (Atelier spécifique ou a été frappée la monnaie) peuvent êtres Latines ou Grecques,si occidentale les lettres sont -P-S-T-Q-pour Prima,Seconda,Tertia,Quarta,ect... ,Si orientale on rencontrera les lettres Grecques Alpha,Bêta,Gamma,Delta,Epsilon,ect.. selon le même principe 1ere,2eme,3eme,4eme,ect...officines.

-4 :Les lettres de fonctionnaires responsables d officines. telles que les Points,Etoiles,Croisants,Feuilles,palmes et autres symboles désignent une série particulière d émission.

Alexandria (Alexandrie-Egypte) : ALE - SMAL.

Ambianum (Amien-France) :AMB.
Atiochia (Antakya-Turquie) : AN - ANT - ANTOB - SMAN.
Aquilea (Italie) : AQ - AQVIL - AQOB - AQPS - SMAQ.
Arelate (Arles-France) : A - AR - ARL.
Barcino (Barcelone-Espagne) : SMBA.
Carthage (Tunisie) : K - PK - KART.

Constantinopolis (Istanbul-Turquie) : C - CP -CON - CONS - CONSP - CONOB.

Cyzicus (Turquie) : CVZ - CVZIC - CVZICEN - SMK.

Heraclea (turquie) : H - HT - HERAC - HERACL - SMH.
Londinium (Londres-Angleterre) : L - ML - MLL - MSL - PLN - PLON - AVGOB - AVGPS.
Lugdunum (Lyon-France) : LG - LVG - LVGD - LVGPS - PLG.
Mediolanum (Milan-Italie) : MD - MDOB - MDPS - MFD.
Nicomedia (Turquie) : MN - NIC - NICO - NIK - SMN.
Ostia (--) : MOST.
Ravenna (Italie) : RV - RVPS.
Roma (Rome-Italie) : R - RM - ROMA - ROMOB - SMR - VRB - ROM.
Serdica (Sophia-Bulgarie) : SMSD - SER.

Sirnium (Sremska Mitrovica-Yugoslavie) : SM - SIRM - SIROB.

Sisca (Sisak-Yugoslavie) : SIS - SISC - SISCPS.
Thessalonica (Salonika-Grece) : COM - COMOB - SMTS - TS - TES - TESOB - THS - THES - THSOB.

Ticinum (Pavia-Italie) : T.

Treveri (Treves-Allemagne) : SMTR - TR - TRE - TROB - TRPS.
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